L’Externationale

Traduction de Stéphane Bouquet.

Janvier 2013

112 pages

Série américaine

978-2-7143-1106-1

17 €

L’Externationale (The Outernationale) est le quatrième livre du poète américain contemporain Peter Gizzi (1959), et le premier à être intégralement traduit en français. D’abord remarqué outre-Atlantique pour son édition de l’œuvre de Jack Spicer, son premier recueil Some Values of Landscape and Weather est accueilli par Robert Creeley comme un « livre novateur non seulement pour le lecteur, mais aussi pour l’écrivain et pour l’art. »

Avec L’Externationale, Peter Gizzi renouvelle la voix lyrique.

Peter Gizzi

Peter Gizzi, né en 1959, dans le Michigan, est poète, essayiste, éditeur et professeur de littérature américaine (University of Massachussetts Amherst). Il a publié huit livres de poésie, qui, tous, ont été remarqué par la critique outre-atlantique. En savoir plus.

Stéphane Bouquet

Stéphane Bouquet, écrivain, traducteur, né à Paris en 1966. Il a publié des livres de poésie et un récit chez Champ Vallon ainsi que des traductions de poètes américains chez Corti et aux éditions Nous. Il a animé avec Laurent Goumarre l’émission Studio danse sur France Culture et il a été critique littéraire à Libération et collaborateur auprès du Monde.
Pensionnaire à la villa Médicis en 2002 et 2003. Il a par ailleurs écrit les textes de (et joué dans) La Traversée, long-métrage autobiographique, ainsi que les scénarios de divers films de Sébastien Lifshitz, de Valérie Mréjen, de Yann Dedet et de Robert Cantarella. Il a été longtemps critique aux Cahiers du cinéma. Il a publié des études sur Gus Van Sant, sur Eisenstein et sur L’Évangile selon saint Matthieu de Pasolini (éd. Cahiers du cinéma). En savoir plus.

Presse et librairies

Le lyrisme inquiet de Peter Gizzi ne ressemble à aucun autre – le buirssement très intime d’un rideau quotidien se levant sur une catastrophe extérieure. Son phrasé peut déchirer le cœur, son œil réfracter la lumière ordinaire en visions pénétrantes.

Adrienne Rich

En faisant appel à des expériences collectives ou en s’observant de l’extérieur (« l’invisible au travers duquel / on se voit enfin / dans une rue reculée du monde »), le poète tente de se fondre dans le poème : « être soi-même se muant en poème ».

Sophie Ehrsam, La Quinzaine littéraire