Le Plaisir du diable

Janvier 2009

336 pages

Domaine français

978-2-7143-0988-4

17.25 €

Van Holl, propriétaire d’une galerie d’art, vient d’acquérir le tableau d’un petit maître du XVIIe hollandais, Emmanuel de Witte, surtout connu pour ses intérieurs d’église. Sonia, l’érudite beauté qui s’occupe de la galerie tombe, littéralement amoureuse de la nouvelle toile qui représente deux guitaristes.
Tout en étant fascinée par le tableau, Sonia a la sensation poignante qu’il s’agit d’un faux. D’où poursuite de l’erreur potentielle, traque de l’invisible faute de l’imitateur, qui engendreront le développement d’un sentiment de possession, Sonia ne supportant pas l’idée de devoir un jour vendre la toile.
Manigances du marché de l’art et magie des faussaires forment la toile de fond de cette histoire insolite.

Jacques Gélat

Jacques Gélat, scénariste sous pseudonyme, a déjà publié aux éditions Denoël, Le Tableau, qui a obtenu un prix de la société des Gens de Lettres. Il écrit actuellement son troisième roman. En savoir plus.

Presse et librairies

Ce roman ne fait pas qu’intéresser par son exploration minutieuse des arcanes et des arnaques de l’art en son milieu. Il séduit par une légèreté de touche et une approche sensitive qui captive jusqu’à la dernière ligne.

Michel Daubert, Télérama

Grâce à l’héroïne, Sonia, nous rencontrons des personnages troubles et hantés qui nous emportent dans une histoire fascinante.

Pierrette Rosset, Elle

Un roman passionnant du début à la fin. Une étrange prouesse.

Le Panorama, France Culture

Il y a dans ce roman hors norme, une remarquable description psychologique de la montée parallèle du doute et de la fascination pour la vérité qui finit par ressembler à de la passion amoureuse. C’est une histoire aussi bien passionnée que passionnante qu’il nous est ici donné de lire.

Jacques Duquesne, Europe 1

Un livre très original dont on ne se détache pas avant la fin.

Le Journal de Genève

Au-delà son intrigue, dont on ne se défait pas avant les dernières pages, et au-delà du monde de l’art dont il traite avec finesse, ce roman n’est pas loin de poser de manière symbolique la question de savoir jusqu’à quelle extrémité peut conduire la nécessité de la vérité quand elle devient passion. C’est un livre aussi beau que captivant. Jacques Gélat possède un véritable talent d’écrivain pour nous offrir le pur bonheur de lire.

Kriss, France Inter