Dehors
pose-toi près d’un arbre
achève ton accord
avec lui
tout bas comme
mangeur d’herbe
L’amour n’échappe pas au temps
mais on ne voudrait pas
que ça finisse
toucher, c’est être
touché
par l’invitable, l’inexprimable
le muet
ne réfute pas les faits, les non-lieux
poches gonflées des bêtes sauvages
où un rien se détache