Carlos de Oliveira
Né au Brésil en 1921, d’abord influencé par le courant néoréaliste, traducteur de Supervielle, Aragon, Éluard, Carlos de Oliveira a su transposer, dans ses romans et dans sa poésie, sa préoccupation sociale sur le plan plus élevé du mythe et du symbole.
Patrick Kéchichian, Le Monde